N°1 Septembre 2016
 

Édito


Nouvelle région, nouveau format…

Vous avez sous vos yeux le premier numéro de l’Actualité des Études.

Plusieurs fois dans l’année, cette lettre d’actualités vous informera des études menées par les services de la DREAL, bien sûr, mais aussi par les autres services de l’État qui portent en région, sous l’autorité des Préfets, les politiques prioritaires du Ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer et du Ministère du Logement et de l’Habitat durable.

Transition énergétique, biodiversité, mobilité durable, aménagement et logement  : autant de thèmes qui seront donc déclinés sous formes de petits articles courts destinés à vous donner l’essentiel de l’information. Libre à vous d’en savoir plus en cliquant sur le lien qui sera associé à chaque article.

Cette lettre a été conçue pour partager avec vous l’étendue de nos travaux pour qu’ils vous soient encore plus utiles.

Alors, prenez quelques minutes pour parcourir ce premier numéro d’une lettre qui je l’espère aura pour vous un parfum d’innovation et de découverte.

Le Directeur Régional de l’Environnement
de l’Aménagement et du Logement
de Normandie
Édito de Patrick BERG

Territoires à Énergie Positive pour la Croissance Verte : ces 18 lauréats méritent d’être connus

La commune de Malaunay, en Seine-Maritime, est un bel exemple de collectivité locale pionnière dans la transition énergétique. Rénovation thermique du groupe scolaire, installation de panneaux solaires, généralisation des éclairages LED, programme de soutien aux mobilités alternatives à la voiture et aux actions des entreprises pour la croissance verte Autant d’actions que la commune s’est engagée à mener avant la fin de la décennie.

Territoires à Energie Positive pour la Croissance VerteMalaunay fait ainsi partie des 13 premiers lauréats normands d’un appel à projet lancé en septembre 2014 par Ségolène Royal, à destination des collectivités territoriales : Les Territoires à Énergie Positive pour la Croissance Verte (TEPCV). Son but : les inciter à s’engager dans la transition énergétique et la croissance verte. Les collectivités ont signé une convention avec l’État et la Caisse des Dépôts et Consignations. Elles bénéficient ainsi chacune d’une subvention maximale de 2M d’euros. Six grands objectifs sont déclinés dans ces conventions :

  • Réduire la consommation d’énergie,
  • Diminuer les pollutions et développer les transports propres,
  • Développer les énergies renouvelables,
  • Préserver la biodiversité,
  • Lutter contre le gaspillage et réduire les déchets,
  • Éduquer à l’environnement.

Aujourd’hui cinq autres collectivités – une par département - ont rejoint le groupe des lauréats normands.

La DREAL a décidé, de son côté, de valoriser ces actions en publiant un jeu de fiches, présentant d’une part les actions de chaque lauréat (18 fiches) et d’autre part, cinq fiches par grand domaine couvrant l’essentiel des actions des collectivités, à savoir le bâtiment et l’éclairage public, le transport et la mobilité, l’environnement et l’éducation à l’environnement, les circuits courts et les énergies renouvelables. Ces fiches seront largement diffusées à partir de fin 2016.

Les 18 collectivités lauréates normandes



Calvados

  La commune de Caen

  La communauté de communes du Pays de Condé-Druance

Eure

  La communauté d’agglomération de Seine-Eure

  La communauté de communes du Roumois

  Le conseil départemental de l’Eure

Manche

  La commune de Cherbourg en Cotentin

  Les communautés de communes de Sèves et Taute et de Mortain

  Le conseil départemental de la Manche

Orne

  La communauté de communes d’Argentan

  La commune d’Alençon

Seine-Maritime

  Les communes de Rouen, Petit-Quevilly et de Malaunay

  Les communautés d’agglomération de Dieppe-Maritime, Caux-Vallée de Seine et du Havre

  Le pays de Bray


Pour en savoir plus En savoir plus …

Contact : Patrick TABOUREL - DREAL Normandie/SECLAD/BCAE

Aïe, la Normandie perd ses haies !

Aïe, la Normandie perd ses haies !Depuis les années soixante-dix, on sait que les haies, outre leur intérêt pour la biodiversité ou le paysage, favorisent les cultures qu’elles entourent. En effet, elles en améliorent le rendement, car elles atténuent les effets du vent et limitent l’érosion du sol, apportent de la fraîcheur en été et de la douceur en hiver.

Et pourtant, depuis les années soixante-dix aussi, dans le Calvados, la Manche et l’Orne, la moitié des haies a disparu. Dans ces trois départements, le bocage a même perdu 40 % de son linéaire de haies de 1972 à 1998, soit en moyenne 3 300 km/an. Ces chiffres sont connus grâce à une méthode mise au point en 2002, basée sur l’analyse de photos aériennes, à différentes périodes, d’un échantillon permanent de cercles de 300 m de rayon.

On pensait cependant qu’un effort avait été fait. En effet, de 1998 à 2006, un net ralentissement des suppressions de haies s’est fait sentir, en particulier dans le Calvados et la Manche. Mais les observations réalisées entre 2006 et 2010 semblaient montrer que ce ralentissement n’était qu’une pause, car, dans l’Orne et les franges de la plaine de Caen surtout, des linéaires de haies avaient de nouveau été détruits.

Il faut dire que l’entretien d’une haie est chronophage. Or, entre 1970 et 2010, en Normandie, le nombre d’exploitations agricoles a été divisé par trois, celles qui subsistent sont trois fois plus grandes et les actifs agricoles trois fois moins nombreux. Le temps manque aux agriculteurs pour entretenir correctement leurs haies et on peut comprendre qu’ils optent pour la solution la plus radicale pour gagner du temps. Le bois de haies est par ailleurs beaucoup moins valorisé sous forme de bois d’œuvre ou de chauffe qu’autrefois, et ne représente plus une ressource économique importante.

Afin de mettre à jour cet indicateur fondamental pour la connaissance du patrimoine naturel de notre région, la DREAL a renouvelé les observations en 2016 à partir d’orthophotographies de 2012. Et les constats se sont vérifiés surtout dans la Manche, et notamment dans le Cotentin et dans le bocage saint-lois. Dans ces deux régions, les plus fournies en haies de Normandie, la densité bocagère est passée de 12km/km² à 10 km/km² en six ans. Certes, la situation semble s’être stabilisée dans le Calvados, mais pour l’Orne et la Manche, il faut vite se montrer persuasif. Dans l’Eure et la Seine-Maritime, la densité de haies est beaucoup plus faible.

Certes, les incitations financières à la plantation existent, grâce aux fonds européens et aux subventions départementales, mais elles n’ont jusque-là permis de ne replanter qu’une centaine de kilomètres de haies par an en moyenne alors que 2 000 km de haies disparaissent chaque année.
C’est pourquoi, outre le suivi de cet indicateur, la DREAL (SRN) travaille actuellement  :

  • sur la protection des haies par les collectivités locales, via les documents d’urbanisme et leur prise en compte des Schémas Régionaux de Cohérence Écologique,
  • sur l’amélioration des pratiques agricoles et le développement d’une animation territoriale, via le programme opérationnel du FEADER et les partenariats avec le Conseil Régional Normandie et l’Agence de l’Eau.

L’enjeu consiste à replacer la haie à la fois dans le contexte économique de chaque exploitation et dans le contexte identitaire de la région Normandie.

Contact : Sophie LARDILLEUX - DREAL Normandie/SRN/BBEN

Des chiffres qui tiennent la route

Saviez-vous qu’en 2015, les poids lourds ont transporté près de 154 millions de tonnes de marchandises en sillonnant les routes de Normandie ? Que deux tiers de ces marchandises ont été chargées et déchargées dans la région ?

Des chiffres qui tiennent la routeSaviez-vous également que 22 000 salariés travaillent dans le transport routier et que l’emploi s’est stabilisé en 2015 ?

Ces informations ne sont qu’un petit échantillon des données que vous pouvez trouver dans le Tableau de bord normand des transports routiers. Accidentologie, formation, entreprises inscrites au registre des transports, contrôles routiers, etc, tous les aspects de l’activité du transport sont ainsi passés au crible dans cet ouvrage disponible sur le site de la DREAL.
Cette publication est le fruit du travail de l’Observatoire social du transport qui regroupe la DREAL, la DIRECCTE, les organisations professionnelles du transport routier, les syndicats de salariés et et les centres de formation de la branche.

Pour en savoir plus En savoir plus …

Contact : Christine NEGRE - DREAL Normandie/SSTV/PTSR

Un nouveau jeu de cartes

« Question Territoire…Top !… je suis un jeu de 9 familles, composé de 57 cartes. Je ne manque ni de chien, ni d’atouts. Je ne prédis pas l’avenir, mais je peux contribuer à le préparer. Mes cartes représentent toutes une même figure et pourtant pas une ne se ressemble. Je suis … Je suis… ??? »

Atlas DREAL NormandieJe suis le nouvel Atlas normand conçu et réalisé par l’équipe géomaticienne de la DREAL Normandie. Le premier atlas conçu sur l’ex-périmètre haut-normand en 2010 comptait moitié moins de cartes. L’édition 2016 s’est donc étoffée et élargie. Les domaines de compétence de la DREAL y ont bien sûr une place privilégiée  : environnement, énergie, risques, urbanisme et aménagement, habitat, infrastructures et mobilité. L’atlas est complété par une série de cartes plus contextuelles portant sur l’organisation administrative, la démographie ou l’économie. Parmi les nouveaux sujets cartographiés citons les énergies marines renouvelables, les quartiers durables et les écoquartiers, ou encore deux cartes sur la précarité énergétique des ménages. L’Atlas est accessible et téléchargeable sur le site internet de la DREAL alors bonne pioche  !

Pour en savoir plus En savoir plus …

Pour en savoir plusChaque carte est également accessible dans la cartothèque de la DREAL Normandie

Contact : Pierre VILHELM - DREAL Normandie/SMCAP/BIG

Une base de données dans le vent

Une base de données dans le ventAvec une puissance installée de 580 MW, la Normandie n’est pas encore une grande région éolienne terrestre.

Elle est en tout cas loin des deux mastodontes français que sont les Hauts de France [1]
(2 300 MW) et le Grand Est [2] (2 600 MW).
Cliquez ici pour agrandir l’image

A titre de comparaison, la centrale nucléaire de Penly dégage une capacité de production de 2 600 MW. Bien sûr, les projets d’éoliennes en mer de Courseulles, Fécamp et Dieppe-Le Tréport feront de la Normandie la première région de production d’énergie éolienne marine, mais les capacités de développement sur terre sont plutôt limitées dans la région. Les principaux freins à ce développement sont :

  • les contraintes aéronautique relatives aux radars et zones réservés Défenses (ex Secteur d’Entrainement Très Basse Altitude de la Sélune couvrant plus d’un tiers du territoire de l’ex Basse-Normandie),
  • un habitat diffus,
  • la densité de monuments historiques dans certains secteurs,
  • des paysages saturés dans des secteurs favorables (Plaine de Caen, Nord-Est de la Seine-Maritime).

Afin d’avoir une vision précise de l’état de l’éolien en Normandie, la DREAL poursuit le travail déjà réalisé dans l’Eure et la Seine-Maritime afin de constituer une base de données géographique complète de l’éolien en Normandie. Les informations issues des permis de construire et des autorisations d’exploiter sont agrégées pour fournir, entre autres, la hauteur de chaque mât, ses coordonnées GPS, la puissance installée, que l’éolienne soit en service ou en projet.

Cette base de données géographiques sera d’une grande utilité non seulement aux porteurs de projets, mais aussi à l’ensemble des citoyens. Elle sera publiée et accessible sur le site internet de la DREAL, mais dès aujourd’hui, vous pouvez accéder aux informations de l’Eure et de la Seine-Maritime, actualisées en janvier 2016 sur la base interactive Carmen.

Contact : Arnaud FORGAR - DREAL Normandie/SECLAD/BCAE

[1] (Nom de la nouvelle région fusionnnée regroupant le Nord-Pas-de-Calais et la Picardie)
[2] (Nom de la nouvelle région fusionnnée regroupant l’Alsace Champagne-Ardenne Lorraine)

Près de 300 000 logements sociaux en Normandie

En Normandie, un logement sur cinq est un logement social. Cette proportion place la région à la troisième place des régions françaises en termes d’offre, derrière l’Île-de-France et les Hauts-de-France (Nom de la nouvelle région fusionnnée regroupant le Nord-Pas-de-Calais et la Picardie). La commune nouvelle de Cherbourg en Cotentin est la mieux dotée pour ce type de logements puisque deux logements sur cinq sont des logements sociaux.

Près de 300 000 logements sociaux en NormandieLe parc social normand, comme dans la plupart des régions, s’oriente, ces dernières années, vers une offre de plus en plus conséquente de logements individuels. Ainsi, près de la moitié du parc individuel de logements sociaux a été construit après 1990. Ce n’est le cas que pour 18 % des logements sociaux collectifs. Au total, en 2015, un logement social sur quatre est une maison. Plus récents, plus adaptés à la demande, les logements sociaux individuels sont deux fois moins vacants que les logements sociaux collectifs. Toutefois, la vacance reste mesurée dans le parc social, sauf dans l’Orne où le taux de vacance atteint 13 % dans le logement collectif. Sans doute, les difficultés économiques qui ont frappé le département ces dernières années n’y sont-elles pas étrangères.

Pour en savoir plus En savoir plus …

Contact : Erwan POULIQUEN - DREAL Normandie/SMCAP/BOES

L’aménagement du territoire au service du tourisme de mémoire

« Sword beach et Juno beach » ou « Côte de Nacre » ?

L'aménagement du territoire au service du tourisme de mémoireEntre le tourisme mémoriel et le tourisme balnéaire, le cœur des visiteurs de cette partie du littoral calvadosien balance. Empruntant le plus souvent des circuits balisés autour de lieux de mémoire emblématiques, sur la côte et à l’intérieur des terres, les touristes passent à côté de très nombreux vestiges de la Seconde Guerre mondiale, qui ont plus souvent subi que participé et bénéficié de l’aménagement et de l’urbanisation de ces sept dernières décennies.

Comment contribuer, alors, à mettre en valeur ces sites par l’aménagement et l’urbanisme ? C’est la question que la DDTM du Calvados a posé à quatre architectes en année de spécialisation et d’approfondissement d’urbaniste au sein de l’école nationale supérieure d’architecture de Marne-la-Vallée.

Après un travail de quatre mois, ces architectes devenus aujourd’hui architectes-urbanistes, suggèrent une approche où le touriste, voire l’habitant, serait plus acteur de ses choix. Pour ce faire, ils imaginent un guide cartographique précis mêlant les sites mémoriels aux autres points d’intérêt touristiques, géographiques, récréatifs ou d’hébergement permettant ainsi aux touristes de profiter de l’ensemble.

S’appuyant sur la géographie, ils proposent également quatre principes d’aménagement pour mettre en valeur ces lieux de mémoire de la seconde guerre mondiale et permettre à l’homme contemporain de mieux replonger dans cette page d’histoire.

  • D’abord redonner à voir la mer, laisser la dune reprendre ses droits comme ont pu la voir les soldats alliés.
  • Ensuite, mettre en valeur les brèches ouvertes lors du Débarquement, en aérant l’espace où elles sont symbolisées par des stèles et en rétablissant les perspectives vers les cœurs de bourg, restaurant ainsi l’impression de pénétration.
  • Puis, relier les plages du Débarquement aux vallées en créant des promenades continues entre la plage et la vallée et en imaginant des ponts permettant de franchir les estuaires.
  • Enfin, rendre accessibles et intégrer au quotidien des habitants, tous les sites oubliés tels les bunkers qui sont devenus interdits d’accès ou enfouis sous la végétation.

Ces suggestions, qui sont développées dans une publication de l’école d’architecture, ont reçu un accueil favorable auprès des collectivités territoriales concernées. Elles devraient être d’une grande utilité pour les prochains projets et stratégies d’aménagement communaux et intercommunaux, ainsi que pour les travaux actuellement menés par la Région dans le cadre du projet d’inscription des plages du débarquement au patrimoine mondial de l’humanité.

Pour en savoir plus En savoir plus …

Contact : Stéphane Héard - DDTM du Calvados

Des ZNIEFF à la mer !

Partant du principe qu’un homme averti en vaut deux, le Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) a créé, il y a quelques décennies, les Zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).
Des ZNIEFF à la mer !Son objectif : se doter d’un outil de connaissance qui inventorie et délimite les zones terrestres présentant le plus grand intérêt écologique. Contrairement aux sites Natura 2000, par exemple, les ZNIEFF sont un outil de connaissance et d’aide à la décision. Elles n’interdisent a priori aucun projet, mais permettent à leur porteur d’être informé des enjeux écologiques et aux services de l’État, de guider leur action d’accompagnement.

Les milieux marins sont concernés aussi. C’est ainsi qu’est née, en 2009, une méthodologie permettant de définir des ZNIEFF marines. Après avoir listé les espèces et les milieux déterminants, les deux ex-DREAL normandes, par l’intermédiaire de leur service ressources naturelles (SRN), se sont associées pour définir quelles pourraient être les ZNIEFF marines normandes. Aujourd’hui 27 ZNIEFF représentant près de 325 000 hectares ont été déterminées sur les zones marines de la Baie de Seine, du nord Cotentin et de la Manche centrale et orientale. D’ici fin 2017, les ZNIEFF du Golfe normand-breton devraient être définies, bouclant ainsi l’inventaire normand. Parmi ces ZNIEFF normandes, on trouvera ainsi les sables fins envasés côtiers de l’Estuaire de la Seine aval et de la baie des Veys, riches en nourriture pour les jeunes poissons qui viennent y grossir, une nurserie en quelque sorte. Figureront aussi les herbiers de zostères, les seules plantes à fleurs de nos eaux marines, où certaines espèces comme les seiches et les araignées viennent frayer.

Tout comme celui des ZNIEFF terrestres, l’inventaire des ZNIEFF marines sera mis à jour en permanence. La DREAL partira donc régulièrement à la pêche aux données auprès des organismes et entreprises, scientifiques ou commerciaux en détenant.

Contact : Sandrine ROBBE - DREAL Normandie/SRN/PML

Agenda

Dates à retenir…


Mycologiades internationales de Bellême (MIB) du 29 septembre 2016 au 2 octobre 2016


Consultation publique pour co-construire la stratégie nationale pour la mer et le littoral jusqu’au 2 octobre 2016


Fête de la science du 8 octobre 2016 au 16 octobre 2016


Changement climatique : quels enjeux et quelles adaptations pour l’agriculture normande ?, journée organisée par la DRAAF de Normandie le mardi 22 novembre 2016 au lycée agricole de Sées




LE chiffre

40%

des communes françaises fusionnées au 1er janvier 2016 sont en Normandie

Au total 95 communes nouvelles ont été créées dans la région.
Pour en savoir plus En savoir plus …

Ailleurs

La chasse au gaspi

Le gaspillage alimentaire en France
Une infographie très instructive de l’Ademe où l’on apprend que les Français jettent 7 % de ce qu’il achètent pour se nourrir
Pour en savoir plus En savoir plus …

Liens utiles

Logo : GéoNormandie, la plateforme Normande d'échange de données géographiques
GéoNormandie, la plateforme Normande d’échange de données géographiques

Nouvelle charte graphique, nouveau logo, nouvelles fonctionnalités ! GéoNormandie se modernise et passe à l’échelle normande !

Pour en savoir plus En savoir plus …



Logo : CRIGE Normandie, Coordination Régionale de l'Information Géographique en Normandie
CRIGE Normandie, Coordination Régionale de l’Information Géographique en Normandie

La CRIGE, est un réseau de partenaires normands qui se coordonnent pour :

  • produire et mettre à jour des données géographiques,
  • les partager dans le respect des politiques nationales et européennes (ouverture des données publiques, directive INSPIRE…) et développer l’information géographique en région.

Pour en savoir plus En savoir plus …



Logo : CIRCE, Le Catalogue Interactif Régional de Consultation des Études
CIRCE, Le Catalogue Interactif Régional de Consultation des Études.

CIRCE est conçu par la DREAL Normandie et élaboré en partenariat avec la Région Normandie.

Pour en savoir plus En savoir plus …

Conception

 

Directeur de la publication :
Patrick BERG, Directeur DREAL Normandie
Rédaction, coordination :
Pascal CAPITAINE, Service du Management de la Connaissance et de l’Appui aux Projets (SMCAP)
Réalisation :
Serge HAMARD, Chargé de mission Web (MiCOM)