Bonjour à toutes et à tous,
« Faire des ÉcoQuartiers des territoires attractifs pour leur qualité de vie et leur capacité de bien vivre, en lien avec leur environnement » : le récent renouvellement du label ÉcoQuartier a permis de (re)mettre au premier plan certaines attentes des citoyens, et de les traduire dans les politiques publiques.
Conçus dans le respect des 20 engagements de la charte éponyme, les ÉcoQuartiers vont favoriser le développement d’usages et de pratiques soucieux de préserver la nature, la biodiversité et la santé de leurs habitants. La diversité des projetsest une richesse.
Les retours d’expériences peuvent emprunter des canaux différents : reconnaissance locale ou nationale à l’instar du label ÉcoQuartier bien sûr, mais aussi de l’opération « capitale française de la biodiversité », partage de données facilité par le numérique (City Green Map), approche pédagogique et mise en valeur d’un patrimoine végétal et culinaire local (Cilaos). L’attention particulière donnée à la prise en compte de la santé dans les opérations d’aménagement (qualité de l’air intérieur et extérieur, pollutions, …) atteste d’un nouveau regard sur la manière de penser et de faire la ville tous ensemble.
L’agriculture urbaine est l’un des vecteurs de ce « bien vivre » et doit concilier les problématiques de nature, biodiversité, circuits courts et alimentation saine et durable. Elle se développe dans les projets d’ÉcoQuartiers, comme par exemple à Montévrain (77), où l’EPAMarne, aménageur de l’ÉcoQuartier de Montévrain, labellisé étape 2, lance un appel à manifestation d’intérêt pour l’implantation d’une activité d’agriculture biologique.
Étant donné l’engouement pour le sujet, gageons que les exemples vont se multiplier dans les années à venir !
Bonne lecture,
DGALN