La prime de restructuration de service (PRS), d’un montant maximum de 30 000 euros et dont le montant varie en fonction de l’éloignement géographique, peut être complétée par une allocation d’aide à la mobilité du conjoint (AAMC) fixée forfaitairement à 7 000 euros si le conjoint est contraint de cesser son activité professionnelle pour accompagner l’agent bénéficiaire de la PRS dans sa mobilité géographique.

Le complément indemnitaire d’accompagnement (CIA), pour sa part, permet de compenser le différentiel de rémunération entre l’emploi d’accueil et l’emploi supprimé, pour une durée de trois ans, renouvelable une fois.
Quant à l’indemnité de départ volontaire (IDV), celle-ci est conditionnée à la démission de l’agent lorsque son poste fait l’objet d’une restructuration. Son montant est égal à un un douzième de la rémunération brute annuelle, multiplié par le nombre d’années complètes de service effectif. Le tout dans la limite de la rémunération correspondant à vingt-quatre mois.